TerraN_EmpirE
Tyrant King
It's a direct descendent of the same family
looks like oneIt's a direct descendent of the same family
:Fin 2016, 51% des 139 Rafale de l’armée de l’air et de la marine étaient disponibles.
Interrogé par le député (LR, Haute-Marne) François Cornut-Gentille, le ministère de la défense vient de communiquer les et de . Seules les données concernant les Mirage 2000N et les ravitailleurs KC-135 sont classifiées, ces appareils dépendant des forces aériennes stratégiques (dissuasion nucléaire).
On apprend ainsi, qu’au 31 décembre 2016, l’armée de l’air avait 98 Rafale « en service » et que leur taux de disponibilité était de 49,3%. Pour la Marine, 41 Rafale, avec une disponibilité de 56,6. Soit un total de 71,5 appareils disponibles, selon nos calculs. Reste à comprendre ce qu’est exactement ce 0,5 appareil...
Ne chipotons pas : la moitié (51%) de la flotte de Rafale était disponible fin 2016, ce qui était déjà grosso modo (49%) le cas un an auparavant.
Au passage, on apprend que l’armée de l’air aligne toujours 150 Mirage 2000, en cinq versions différentes (D, -5, C, N, B).
Sans surprise, le député François Cornut-Gentille pointe, sur son blog, et .
It looks more like a H175 but with a Fenestron tail rotor then a Dolphin / Pantherwas excellent choice; reposting:
even the Russians liked this view
from this angle, to me, it resembled some naval helicopter ... but I had to use google to find out:
AS 565MB Panther Mulitrole Naval Helicopter, France
agree?
Again Same builder Airbus Helicopter blending Ideas from there New and Legacy lines.It looks more like a H175 but with a Fenestron tail rotor then a Dolphin / Panther
related:google translation of
Le ministère de la Défense va commander entre 160 et 190 H160 d'Airbus Helicopters
:
"The government will order "160 to 190 helicopters" to Airbus Helicopters, Defense Minister Jean-Yves le Drian announced on Friday on the site of the group in Marignane (Bouches-du-Rhône).
"I came to tell you that I decided the day before yesterday (Wednesday) to make the H160 the basis of the future inter-armed light helicopter," said the minister after the visit.
This new device is intended to replace the current Gazelle, Alouette, Dauphin. No amount was disclosed.
The helicopter, according to the minister, is a "unique, exceptional tool". After five years as Minister of Defense, Jean-Yves Le Drian assured that he would deliver to his successor the following "message": "the helicopter is central to the future and our security."
The medium-sized helicopter H160, developed at the moment in its "civil" version, has obtained 68 patents, notably for its curved blades, which make it possible to halve the noise in flight.
The minister, welcomed as "a friend" by the CEO of Airbus Helicopters, Guillaume Faury, asked Airbus a first delivery of these aircraft that will succeed the Dauphins in 2024.
After attending Marignane at a presentation of the VSR700 drone, the minister said he was "pleased to see that Airbus Helicopters is not absent from the drones project".
Jean-Yves le Drian returned to the uncertainties known by the company last year: "I know that the year 2016 was difficult (...) but you have shown your commercial strength." Military deliveries, which now account for 57 percent of the group's turnover, have "mitigated the difficulties of the civilian market," the minister said.
Airbus Helicopters experienced its "toughest year since 2008", according to its CEO, due to lower demand from oil companies, with 353 net orders and 418 aircraft deliveries.
To cope with this slowdown, the division announced in October a plan of 582 voluntary departures, spread out on its two sites of Marignane and Paris, in 2017 and 2018.
Airbus Helicopters boasts 47% of the civil and parapublic helicopter market, ahead of its Italian and American competitors, Leonardo, Bell and Sikorsky.
The company employs 9,200 people in France, including 8,500 in Marignane, where R & D, testing, production and support activities are combined."
Following the recent pick of the Airbus Helicopter H160 for France's joint light helicopter, work will now begin to study modifications to adapt the civil rotorcraft to military missions, according to Laurent Collet-Billon, the head of the French Direction Générale de l’Armement acquisition office.
This work includes fitting the Anti-Navire Léger anti-ship missile for the Navy and a machine gun for the Army.
That work is expected to lead to a program launch in 2019 for 160-190 units, said DGA Director of Operations Monique Legrand Larroche, who declined to give an estimated value of an eventual order. Such information would handicap the office’s negotiations on the deal, she said.
The helicopters will be delivered to the Air Force, Army and fleet air arm, replacing an aging and varied fleet including Alouette, Dauphin, Fennec, Gazelle, Panther and Puma. A pick of a single aircraft to replace such a range of light and medium helicopters has been a complex task, but one of the expected benefits is a smaller maintenance bill.
The Army air corps was keen to equip the special forces with a new attack helicopter, which would later be delivered to the conventional forces, reported Air & Cosmos magazine.
Defence Minister Jean-Yves Le Drian announced during a March 3 visit to Airbus Helicopters’ French headquarters at Marignane, southern France, a pick by the ministerial investment committee of the H160, a new helicopter developed for the civil market.
:L'exercice a été marqué par la conclusion de grands contrats historiques.
Mais la façon de les comptabiliser suscite un différend entre professionnels.
Querelle de chiffres autour des exportations d'armes. Lors de la présentation du bilan annuel de l'activité de la Direction générale de l'armement, son patron, Laurent Collet-Billon, n'a pas voulu estimer les prises de commande à l'exportation de l'industrie française d'armement. Pourtant, il y a un an, le patron de la DGA avait promis qu'après une année 2015 exceptionnelle, avec 16,9 milliards d'euros de prises de commande, 2016 atteindrait un nouveau record.
Mais, lundi, le dirigeant s'est enfermé dans un mutisme maladroit : « Je ne veux pas donner de chiffres. » Une attitude curieuse alors que la France a enregistré l'an dernier les deux plus grands contrats d'armement de son histoire, avec la vente en Inde de 36 Rafale et le contrat passé par DCNS avec l'Australie pour la fourniture de 12 sous-marins. D'autant plus que, en janvier dernier, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, avait déclaré que l'industrie française de l'armement avait atteint un nouveau sommet à l'exportation avec plus de 20 milliards d'euros de prises de commande.
« Ce n'est pas juste »
De fait, l'embarras vient d'un différend sur la manière de prendre en compte ou non le contrat de DCNS. Dans l'entourage du ministre, on souligne que la part française de ce contrat représente au bas mot un montant de 6,5 milliards d'euros et qu'il doit être intégré aux chiffres de 2016, puisque la France et l'Australie ont conclu en décembre l'accord intergouvernemental portant sur la fourniture de ces 12 sous-marins. La DGA estime en revanche que le contrat n'est pas encore entré en vigueur puisque DCNS n'a pour l'heure reçu qu'un acompte de 300 millions d'euros pour les études et que la finalisation du contrat est toujours en négociation.
Quitte à enregistrer cette commande historique sur les comptes 2017, ce qui laissera au ministre de la Défense du prochain gouvernement le loisir d'annoncer sans effort des chiffres de commandes record. « Ce n'est pas juste », plaide-t-on dans l'entourage du ministre de la Défense. Sans le contrat de sous-marins, toutefois, les prises de commande à l'exportation atteignent quelque 14 milliards d'euros, ce qui, à défaut de représenter un record, est encore un chiffre très important.
Hier, Laurent Collet-Billon dont le mandat arrive à échéance en juillet prochain a préféré insister sur un autre exploit : le respect de la loi de programmation militaire (2014-2019), qu'il qualifie de « loi de survie ». Grâce à l'exportation des Rafale, qui va permettre à la France de suspendre pendant deux ans en 2018 et 2019 ses livraisons d'avions de chasse, la DGA a pu boucler d'autres achats qu'elle n'aurait pu faire sans cette bouffée d'oxygène. « C'était un enjeu à 4 milliards d'euros », a souligné le délégué général de l'armement.
L'an dernier, la DGA a passé pour 10,8 milliards de commandes, restant le premier investisseur public de France. Le dirigeant déclare avoir passé des commandes pour 80 % du matériel prévu par la loi de programmation militaire. Par ailleurs, quelque 804 millions ont été dépensés pour soutenir l'innovation et la recherche. Parmi les trois principaux bénéficiaires, on trouve Thales, avec plus de 1,7 milliard d'euros de paiements, suivi de DCNS avec 1,33 milliard et d'Airbus Group avec 1,25 milliard. A propos de la demande de renégociation exprimée par le patron d'Airbus Tom Enders sur l'A400M, le délégué général a promis que cela allait prendre « beaucoup de temps ». Une manière de botter en touche. Le 30 mars, lui et ses homologues des pays européens, doivent se rencontrer pour en discuter, mais sans prendre de décision.